Humains

Qu'étions-nous, que sommes-nous, qu'allons-nous devenir ?

Hextinction

Nous avons mis, à peine, 200 ans pour tout foutre en l'air.
Dans 200 ans il risque de ne plus y avoir que des traces de notre existence.

L'Histoire montre que nous participons au naufrage de l'humanité.

L'espèce humaine réduit sans cesse son espérance de vie, au point qu'elle est, aujourd'hui, inférieure à celle, théorique, des vivants qui la compose.

En moins de trente ans, une grande partie des humains sera sacrifiée.

Ce dossier présente, de la plus récente à la plus ancienne, une sélection d'illustrations de cette extinction de l'humanité, Hextinction.

Au mieux, il aidera mes semblables à réagir avant l'ultime instant. Au pire il prouvera que nous le savions depuis plusieurs années et que nous aurions pu limiter les dégats.


Février 2020

Le point sur la situation d'urgence climatique

Urgence climatique

LE BÂTEAU COULE ET L'ORCHESTRE JOUE SUR LE PONT

L'orchestre, constitué du gouvernement, des médias et des citoyens, joue un air rassurant, au lieu de préparer les canots de sauvetage.


Janvier 2020

L'horloge réglée, pour la première fois, à moins de 2 minutes

Nous approchons de la fin

Dérèglement climatique, virus, armes nucléaires. Les experts chargés d'évaluer les risques courus par l'humanité ont réduit le délai avant sa fin.
Pour lire l'article de Futura Sciences


Les accords de libre-échange sont nocifs pour les peuples

Généralisation de l'échangisme

Les états capitulent devant les multinationales, au péril de leur peuple.


Bulletin de Ruffin, BDR, numéro 65

Urgence climatique

François Ruffin, député de la Somme, évoque la dramatique inaction politique, alors que de nombreux experts répètent qu'il ne reste que trois ans, à partir de 17 min 11.


Entre 2000 et 2019

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La montée des eaux concerne 3 millions de Flamands et 3 centrales nucléaires

Début du dérèglement climatique

Le dérèglement climatique est, à la fois, le pire péril actuel et le plus négligé. Je n'écrirai pas sous-estimé car ce mot sous-entend une réflexion et une décision. Il s'agit bien de négligence. Au lieu de lui accorder toute l'attention qu'il requiert, l'homo sapiens vaque à ses occupations habituelles et s'en remet au miracle d'un dieu ou, pire, compte sur la clairvoyance d'un quelconque gouvernement, voire la science d'un savant Cosinus.
Pourtant, sans aucune boule de cristal ni le moindre don de divination nous savons, dès à présent, que le réchauffement planétaire incontrôlé va devenir incontrôlable. Que le méthane enfermé dans les glaces va s'échapper et accentuer l'effet de serre. Que les glaces des pôles vont fondre et que toutes les implantations côtières seront noyées sous une dizaine de mètres d'eau. Dans quelques années, des millions d'homo sapiens seront jetés sur les routes et devront trouver un nouvel endroit pour survivre. Si ça ne suffit pas, nous aurons en supplément des sécheresses, des ouragans, des orages et autres joyeusetés.

Pour la Belgique, la montée des eaux représente le déplacement de la moitié de nos concitoyens flamands (3.000.000 personnes) et l'inondation de la centrale nucléaire de Doel. Sans parler des centrales nucléaires de Gravelines, entre Dunkerke et Calais, et de Borssele, sur l'Escaut, à 50 km en aval de Doel.

Face au risque, quel euphémisme !, d'une catastrophe nucléaire et de la migration de millions de Flamands, aucun moyen sérieux n'est mis en oeuvre.


La pognontisation atteint son paroxisme

Tout pour les tunes

Pognontisation vient de pognon, argent, caillasse, flouze, grisbi, monnaie, oseille, pépète, pèze, picaillon, ressource, sous, tune.
Dans cet ordre d'idée j'ajoute spéculation, bénéfice, dividende, intérêt, marge, profit.
Voilà l'emballement frénétique du monde actuel.

À court terme, il provoquera l'extinction de l'espèce humaine.
Ça commencera par les plus pauvres qui sont, de plus en plus, marginalisés et abandonnés par leurs semblalbles.
Voleront ensuite à la trappe ceux de la classe moyenne inférieure qui se seront bercés d'illusions.
Enfin, les autres seront décimés par les catastrophes naturelles, faute d'avoir consacré les moyens suffisants au péril climatique.




T.M.

Haut

L'homme ne peut que garder les pieds sur Terre. Malheur à lui si Terre ne le supporte plus.